ELLE HEBERGE LE CIEL
Le torrent bondit
le ruisseau roucoule
L’eau obéit.
Où qu’on la mène
elle suit
se coule entre les herbes
luit sur la roche
et dessine le sable.
Dans une vasque au repos
elle écoute les oiseaux
et répond au soleil
lorsqu’il écarte une branche
dévoilant un ciel immense
qu’ample miroir
elle hébergeait déjà
sans le savoir.
sans le savoir.
mp
Je m'en vais rejoindre de ce pas, le soleil, avant que vous n'écartiez la branche . Soyons fous de nouveau .La peur ne peut nous rejoindre.
RépondreSupprimerCe n'est pas moi qui peux écarter la branche.
SupprimerSeriez-vous jaloux du ciel ?
Pas de jalousie entre nous "deux" Bien au contraire ,je crois pouvoir vous annoncer: Vous hébergez, en vous,des ciels que vous ignorez. Il y a à poursuivre l'oeuvre seulement entrevue, à continuer à lire en vous .
RépondreSupprimerIl semble en effet que ces ciels aient remué mes neurones cette nuit. Nous verrons ce que les connections auront mis au jour.
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