LA SAINTE VICTOIRE EN HIVER
jetée sur l'épaule,
elle toise du regard
le village à ses pieds
et, dédaigneuse, surveille
les crêtes dissipées
des barres de l'Etoile.
Tapis dans l'ombre,
les laborieux pistils
des cheminées de Gardanne
propulsent leurs volutes blanches
dans le brouillard
pour verser leur obole
à la
Grande Dame.
Saisissant !
RépondreSupprimerUn regard particulièrement aiguisé, une sensibilité extrême dans la poésie pour ces paysages aixois intemporels et admirables ...
A lire, à relire ...
Merci, Anonyme !
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