MIGRATIONS EOLIENNES
filent sur la glissière.
Bicyclettes debout ou couchées
les suivent sans les rattraper
Moi je voyage en sens inverse
en songeant à Apollinaire.
Soudain s’élancent
sur la haie
trois jeunes filles
en collants blancs
qui font la roue
lentement
et c’est tout un ballet
qui monte de la route
et tourne,
tourne au ralenti
passant sur les pointes
sans un bruit.
mp
Ah oui, des éoliennes ?
RépondreSupprimerDsl de ma réponse si tardive : bien vu, et comme le poème n'était pas censé être une énigme, je remédie à cela dans le titre. Merci d'avoir contribué !
Supprimer