PASSERELLES D'AUTOMNE
Des nuées pèsent sur la mer Le reflet du ciel se coule à l’infini. Toi, d epuis les ruelles tu cherches au loin mon horizon de pluie Tu cherches le petit pied qui ouvrit un soleil dans l’eau claire. Et moi j’entends geindre le bois que l’on fend dans la clairière. Un souffle de vent et les feuilles du chêne se pressent en un voyage. C'est u n tapis volant chargé de tendresse qui se pose sur ma page. mp